19 juin 2024
Syndicat FOCeA

Règlement du temps de travail des routes : Les agents n’en veulent pas !

Temps de lecture estimé : 2 min

Dans une précédente actu (relire ICI), nous vous avions informé que le Comité Social Territorial (CST) du 3 juin 2024 ne se tiendrait, faute de quorum au sein du collège des représentants du personnel, FOCeA et la CGT ayant décidé ne pas siéger (2/3 des représentants) afin de manifester leur profond mécontentement à l’égard du projet du nouveau règlement du temps de travail des agents des routes qui devait y être examiné et qui ne convient à quasiment personne.

Face à l’absence de volonté de discuter d’une organisation de travail alternative et acceptable pour tous, nous avons déposé un préavis de grève reprenant bon nombre de revendications des agents des routes (pas de décalé d’après-midi, pas de RTT imposés pour organiser le service, mise en oeuvre de repos par anticipation avec réduction de la durée annuelle du temps de travail, … ). Vous trouverez ci-dessous le préavis déposé le 7 juin 2024 avec l’ensemble des revendications (à lire), quelques jours avant la nouvelle séance du CST programmée le 13 juin 2024, sans nécessité de quorum cette fois.

 

 

Le mardi 11 juin 2024 en soirée, nous avons été invités à une réunion d’échange pilotée par M. DARLEY, DGA environnement, au sujet de ce préavis de grève et de l’organisation de travail envisagée par l’Administration. Après lui avoir rappelé que nous aurions tous pu s’éviter une telle crise, nous avons réitéré nos propositions. Il nous a été indiqué que la Collectivité refusait de s’engager dans toute forme de repos préventif, comme nous le suggérions, mais qu’elle avait décidé d’ouvrir sans délai des négociations avec les organisations syndicales en prenant en compte des revendications formulées par FOCeA, l’idée « affichée » étant de trouver dans les meilleurs délais une organisation de travail plus satisfaisante et plus respectueuse de la vie personnelle des agents.

Au cours du CST qui s’est tenu deux jours plus tard, les représentants FOCeA ont une nouvelle fois réitéré leurs propositions. Pour autant, la Collectivité a maintenu le projet initialement présenté en expliquant son caractère « très » provisoire, dans l’espoir d’une meilleure organisation concertée avec les organisations syndicales mais surtout d’une annulation du jugement par la Cour Administrative d’Appel de Nancy (ce qui n’est pas gagné…).

Compte tenu du rejet quasi-unanime du travail décalé d’après-midi de la part des agents des centres routiers, les représentants FOCeA ont voté CONTRE le projet de modification du règlement intérieur. Nous avons toutefois obtenu, dans la douleur, la suspension de la récente interdiction de récupérer les heures supplémentaires par demi-journée

S’agissant du préavis de grève, nous avons invité l’ensemble des adhérents du syndicat FOCeA relevant des centres routiers à assister à une réunion qui s’est tenue le vendredi 14 juin 2024 à Sainte-Croix en Plaine afin d’arrêter une position. Nous avons tout d’abord rappelé aux dizaines d’adhérents présents les raisons pour lesquelles nous avions donné un avis favorable au règlement intérieur voté en octobre 2021 (accord de l’administration sur la proposition de FOCeA pour l’astreinte hivernale du lundi au lundi, dans un contexte de tension dans les centres routiers bas-rhinois) malgré le désaccord de fond sur la question de l’application des garanties minimales lorsque les interventions aléatoires sont terminées. Nous avons ensuite exposé la situation actuelle ainsi que nos revendications.

 

Laisser une ULTIME chance à la négociation ?

 

A l’issue de cette réunion et des débats nourris, les adhérents présents ont donné mandat au syndicat FOCeA afin de participer aux négociations qui s’ouvrent le 28 juin 2024 avec l’administration et de suspendre très provisoirement le préavis de grève déposé. Si aucune avancée significative n’est obtenue d’ici l’automne, le préavis sera réactivé et la grève sera lancée !

En parallèle, notre organisation va rapidement contester une partie du jugement rendu par le tribunal administratif de Strasbourg dans la mesure où les juges ont statué bien au delà de la demande de notre organisation syndicale consistant à revenir à l’application des garanties minimales (10h de travail quotidien, 12h d’amplitude) lorsque l’intervention aléatoire est TERMINEE.

Pour autant, et malgré un avis défavorable du collège des représentants du personnel en CST (qui n’est que consultatif…), le nouveau règlement du temps de travail sera sans aucun doute adopté par le Conseil d’Alsace dans sa séance du 20 juin 2024 et applicable dès le 1er juillet prochain.

 

Que les choses soient parfaitement CLAIRES :

Après tout l’engagement mis au service des agents des routes,

FOCeA combattra sans relâche les décisions injustes qui les touchent  !

 

FOCeA

3 juin 2024
Syndicat FOCeA

Temps de travail des routes : FOCeA ne participera pas au CST du jour !

Temps de lecture estimé : 2 min

 

Plusieurs sujets étaient à l’ordre du jour de la séance du Comité Social Territorial (CST) de ce jour. Il ne se tiendra pas, faute de quorum au sein du collège des représentants du personnel, FOCeA et la CGT ayant décidé ne pas siéger (2/3 des représentants).

 

Le règlement du temps de travail des agents des routes :

LE SUJET de crispation !

 

Comme indiqué dans une précédente actu (relire ICI), la CeA a été condamnée le 9 avril dernier par le tribunal administratif de Strasbourg à revenir à l’application des garanties minimales de base en terme de temps de travail, d’amplitude journalière et de repos, à l’issue d’une intervention aléatoire. Statuant au delà de notre demande, le tribunal a imposé à la CeA de modifier le règlement intérieur des agents des routes pour limiter le temps de travail à 10h par jour en toutes circonstances.

Aussitôt, FOCeA a pris contact avec la Direction des Routes pour échanger sur les modalités de mise en oeuvre de ce jugement. Une rencontre s’est tenue le 19 avril dernier au cours de laquelle nous avons formulé des propositions d’organisation. PAS DE REPONSE !

Quelques semaines après, la Direction des Routes faisait le tour des centres routiers pour présenter le projet d’organisation du travail qui avait été décidé sans aucune concertation. Au menu : travail décalé d’après-midi de 13h à 21h, RTT imposés, disponibilité en soirée sans astreinte…

Le 24 mai 2024, FOCeA a rencontré Pierre BIHL, 1er vice-président de la CeA, en présence du Directeur Général Adjoint Environnement et de la DRH. Nous lui avons fait part du rejet ce projet d’organisation de la part de nombreux agents des centres routiers et avons à nouveau présenté des propositions concrètes d’organisation. PAS DE REPONSE !

Lors de la séance préparatoire du CST qui s’est tenue le 31 mai 2024, le projet de modification du règlement du temps de travail des agents des routes a été présenté par le Directeur des Routes sans qu’aucune des propositions que nous avions faites n’ait été prise en compte. Pire encore, ce projet ne respecte pas le jugement rendu… Au passage, la Direction des Routes s’est bien gardée de préciser qu’elle modifiait les modalités de récupération des HS des agents. BRAVO LA SINCERITE !

Nous avons alors sollicité par courrier du 29 mai dernier (ci-dessous) le Président BIERRY pour qu’il revoit la situation et que nos propositions ne soient pas balayées d’un revers de main. Hélas, PAS DE REPONSE !

 

 

La CGT, pour sa part, a demandé le report du point examiné lors du CST de ce jour pour laisser du temps à la concertation. Au moins, ils ont eu la chance d’avoir une réponse… mais de rejet !

Dans ces conditions et face à une absence évidente de considération et de volonté de dialoguer avec FOCeA, nos représentants FOCeA en CST ne siégeront pas ce jour conformément au mandat donné par l’assemblée générale du syndicat qui s’est tenue le 16 mai dernier.

Par ailleurs, un préavis de grève sera prochainement déposé par notre organisation syndicale pour qu’enfin, la parole des agents des routes soit entendue. Cela fait des semaines que les agents des routes en ont assez d’être pris pour des enfants par leur direction, qui a également décidé de leur interdire de récupérer les HS par demi-journée, qui leur refuse la sujétion « remplacement collègues absent » si un seul agent est absent, qui fixe des règles arbitraires en matière d’octroi de NBI technique….

 

TROP c’est TROP !

 

Enfin, l’Administration nous a informés qu’elle fera appel du jugement rendu par le tribunal administratif de Strasbourg. L’UNSA a communiqué auprès de certains agents en indiquant qu’elle espérait que le jugement soit annulé. Si elle s’y croit ainsi fondée, nous ne pouvons que l’inviter à se rapprocher et à se joindre à l’Administration à cet effet… En tout cas, elle ne peut prétendre défendre les conditions de travail des agents des routes en affirmant lutter contre la conduite à 1 en hiver tout en laissant l’administration faire travailler les agents seuls pendant 15h par jour.

Pour mémoire, vous trouverez ci-dessous le résumé de nos propositions qui passent nécessairement par la modification du titre II du décret 2002-259 portant dérogations aux garanties relatif aux interventions aléatoires. En attendant et de manière très transitoire :

  • Une équipe avec horaires de journée et assurant les interventions accident en astreinte de 0h-7h30 dans la limite de 10h de travail quotidien et de 12h d’amplitude. Mise au repos dès que l’une de deux limites est atteinte
  • Une équipe avec des horaires de 13h à 16h/16h30 selon le cas, en charge d’assurer les interventions accident de 16/16h30 à 24h en astreinte. Réduction de la durée annuelle du temps de travail à hauteur de 4h pour chacune des matinées
  • Ouverture de discussion sur les contreparties à accorder aux agents du fait des milliers de dépassement des 10h de travail quotidien qui ont conduit les agents à travailler alors qu’ils auraient du être placés en repos.

 

Si l’erreur est humaine, persister dans une telle erreur constitue une faute pour la Direction des Routes !

 

FOCeA

15 mai 2024
Syndicat FOCeA

Retour sur un jour de temps partiel : Seulement au bon vouloir de l’agent !

Temps de lecture estimé : 1 min

Très régulièrement, le syndicat FOCeA est contacté par des agents exerçant leur activité à temps partiel, de droit ou sur autorisation, et à qui il est parfois demandé, voire imposé, de revenir travailler sur leur jour de temps partiel pour « raisons de service », pas toujours justifiées d’ailleurs.

 

 

Un énième cas concret s’est présenté dans le secteur médico-social, comme bien souvent d’ailleurs. Il a été demandé à un agent de revenir travailler sur un jour de temps partiel programmé un mercredi. L’agent ayant refusé de revenir, son responsable hiérarchique lui a indiqué qu’il peut « être demandé à chaque professionnel de revenir sur le jour de télétravail ou de temps partiel si la continuité du service l’exigeait, et ce dans un cas tout à fait exceptionnel. Les nécessités de service sont bien mentionnées dans le règlement général du temps de travail visible sur l’intranet. »

 

CETTE AFFIRMATION EST … INEXACTE !

 

Fort d’un accompagnement éclairé de la part de l’équipe FOCeA, l’agent a pu disposer d’arguments utiles afin de refuser de reporter son jour de temps partiel.

En réponse (que nous reproduisons ci-dessous), la Direction a finalement acté le principe fondamental selon lequel il ne peut être exigé d’un agent de revenir sur son jour de temps partiel dûment accordé au préalable :

La demande de report de TP peut légitimement être demandée par sa hiérarchie à un agent, pour assurer la continuité du service, pour peu que cette demande ne soit pas faite à trop brève échéance […] pour répondre aux impératifs de continuité du service public, tout en préservant l’équité de traitement entre les agents.  […] Toutefois, il faut pouvoir tenir compte des contraintes de chacunl’agent est donc légitime à refuser la demande de report de son temps partiel, pour raisons personnelles.

 

Pour résumer simplement :

La hiérarchie peut demander à un agent s’il accepte de revenir travailler sur un jour de temps partiel mais la décision de donner suite ou pas appartient UNIQUEMENT à l’agent.

Le droit est clair à ce sujet :

Une autorisation de travail à temps partiel accordée par l’employeur sur demande d’un agent mentionnant la quotité de travail et le jour ou les jours libérés, est un acte créateur de droit au profit de l’agent, pris en considération des nécessités de service, qui ne peut être retiré et qui doit donc être respecté.  La CeA ne peut par ailleurs suspendre ou modifier une autorisation de travail à temps partiel d’un agent avant son échéance. Seul l’agent, s’il le souhaite, peut faire une demande de réintégration à temps plein OU de modification des conditions d’exercice du temps partiel (quotité, jour libéré), avant l’expiration de la période en cours, sous réserve de respecter, en principe, un délai de 2 mois avant la date souhaitée.

 

 

Il n’est pas possible d’imposer à un agent de revenir sur un jour de temps partiel sans contrevenir au principe du respect au droit à la vie privée et familiale garanti par la Convention Européenne de Sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

Pour rappel : l’agent exerçant à temps partiel n’est pas rémunéré sur son jour non travaillé (à ne pas confondre avec un congé). Sa charge de travail doit obligatoirement être allégée en conséquence.

 

FORCER UN AGENT A TRAVAILLER SUR UN JOUR DE TEMPS PARTIEL PORTE AINSI ATTEINTE A SA VIE PRIVEE ET FAMILIALE

 

FOCeA

30 avril 2024
FOCeA

RAPPEL – Assemblée générale FOCeA du 16 mai 2024 à Bergheim

Temps de lecture estimé : 1 min

 

FOCeA FOCeA

Comme chaque année, le temps est venu de faire le point sur l’activité de notre organisation syndicale et avons ainsi le plaisir de vous informer que l’Assemblée Générale du syndicat FOCeA se tiendra :

 

Le jeudi 16 mai 2024 à 9h00

salle de réception de l’EHPAD les Fraxinelles

21 rue des Fraxinelles à BERGHEIM

 

Si vous êtes adhérent(e) 2023 et/ou 2024, vous avez récemment reçu à votre domicile un courrier contenant l’ensemble des éléments vous permettant de participer à cette assemblée générale.

Si vous n’êtes pas encore adhérent(e) et que vous souhaitez y participer, vous pourrez adhérer sur place. Il conviendra toutefois de nous contacter TRES RAPIDEMENT pour que nous vous adressions les formulaires d’autorisation d’absence vous permettant ainsi de participer à l’Assemblée générale sur votre temps de travail. Ces formulaires devront être remis à votre hiérarchie au plus tard le lundi 13 mai 2024.

Pour rappel, nous accueillerons les participants dès 8h30 sur place autour d’un café et proposons à celles et ceux qui le souhaitent de participer au repas qui sera pris en commun à l’issue de la matinée (vers 12h45-13h00).

Afin d’offrir à toutes et à tous les meilleurs conditions d’accueil possibles, il est impératif que vous nous indiquiez votre intention de participer à l’Assemblée générale en adressant un simple mail à contact@focea.eu ou un SMS au 07 82 70 14 53.

Nous vous informons que l’usage des véhicules de service est autorisé par la Collectivité en vertu du document-cadre relatif à l’exercice des droits syndicaux au sein de la CeA.

Vous trouverez ci-dessous l’ensemble des informations nécessaires pour participer à l’Assemblée Générale. :

!! PROLONGATION inscription REPAS

jusqu’au dimanche 5 mai  !!

 

A TRES BIENTOT

 

FOCeA

15 avril 2024
FOCeA

9 avril 2024 : le Juge abolit le travail forcé à la Direction des Routes de la CeA !

Temps de lecture estimé : 2 min

Dans une actu publiée il y a plus de 2 ans (relire ICI), le syndicat FOCeA vous avait informés avoir saisi le Tribunal administratif de Strasbourg (TA) sur les modalités de travail mises en œuvre au sein de la Direction des Routes de la CeA (DRIM) conduisant à faire travailler les agents des routes jusqu’à 15h par jour, en particulier, en période de viabilité hivernale.

 

 

Malgré des demandes incessantes de notre organisation syndicale, le Président de la CeA, Frédéric BIERRY, avait refusé d’abroger ces dispositions manifestement illégales et contraires à la Directive européenne de 2003 concernant certains aspects de l’aménagement du temps de travail.

 

15h de travail par jour à la DRIM:

le TA de Strasbourg censure fermement la CeA ! 

 

Par jugement rendu le 9 avril 2024, soit après plus de 2 ans de procédure, le TA a finalement tranché en faveur de la position soutenue par le syndicat FOCeA et a décidé d’annuler la décision du Président de la CeA, refusant de revenir à l’application des garanties minimales de base (soit 10h de travail maximum par jour) à l’issue d’une intervention aléatoire.

Alors que la Direction des Routes s’acharne depuis près de 15 ans à faire travailler les agents des routes au mépris de de l’obligation de préserver leur sécurité et leur santé, le TA a ainsi jugé qu’un agent engagé à compter de 2h du matin pour assurer des opérations de salage ou de déneigement au volant d’un engin de service hivernal, ne devait pas rester au travail jusqu’à la fin de sa journée normalement programmée à 16h30 ou 17h (selon le cas), mais devait être arrêté et placé en repos d’office, après 10h de travail quotidien, soit au plus tard à midi dans l’exemple cité.

A noter que le rapporteur public, magistrat en charge de proposer aux juges une solution au litige, était défavorable au raisonnement de FOCeA lors de l’audience qui s’est tenue le 22 mars 2024. Les juges ne l’ont pas suivi, ce qui est assez exceptionnel !

 

 

Par ailleurs, les juges ont ordonné au Président de la CeA, de prévoir dans le règlement spécifique à l’organisation du temps de travail des agents d’exploitation des routes, sous un délai d’un mois à compter de la notification du jugement, l’impossibilité pour les agents de dépasser 10h de travail quotidien lorsque la journée inclut une intervention aléatoire.

Cette injonction méritant, à notre sens, d’être quelque peu nuancée, nous avons proposé à l’Administration d’échanger sur les conséquences de ce jugement avec les représentants de notre organisation syndicale, seule au sein de la CeA à pleinement maîtriser ce type de sujet.

La CeA a en outre été condamnée à verser au syndicat FOCeA la somme de 1 500 euros au titre des frais de justice engagés par notre organisation syndicale dans cette instance.

 

15h moins 10h = 5h de travail forcé !

 

Malgré toutes les alertes faites depuis des années par FOCeA, il est donc établi que la Collectivité a délibérément fait travailler les agents de la Direction des Routes jusqu’à 15h par jour en période de viabilité hivernale alors qu’elle n’en avait absolument pas le droit. En toute connaissance de cause, elle a ainsi commis une faute (de multiples en fait) de nature à engager sa responsabilité et ouvrir droit à l’indemnisation des préjudices subis par les agents pour les heures de travail qu’ils n’auraient pas dû faire. Nous nous réservons d’ailleurs la possibilité d’entreprendre des démarches sur ce point.

Au regard de ces dysfonctionnements majeurs, nous ne pouvons qu’inviter le Président BIERRY a demandé des comptes à ses services, en particulier à la Direction des Routes, qui l’a ainsi amené dans un tel mur. Nous l’invitons également à nous prendre un peu plus au sérieux…

 

Encore une fois, FOCeA n’a rien lâché !!

 

Et ce n’est pas fini….

 

FOCeA